Il est lâché par les USA mais s'accroche au risque d'être responsable de nouveaux affrontements. "La transition démocratique ne peut se faire qu'avec lui ", c'est ce que vient de déclarer son ambassadeur en France. Il évoque également les risques d'une dérive islamique ou pire djihadiste, ce serait le choix entre la peste et le choléra; Moubarak nommait le tiers des parlementaires, c'était sa manière de concevoir la démocratie, et le FMI lui donnait une bonne note comme la coface (ici) qui prévoyait une belle année 2011 pour le Régime :
"Le rythme de la croissance devrait s'accélérer en 2011, dans la perspective de l'élection présidentielle de septembre 2011. Avec l'appui d'une politique économique encore accommodante, la demande intérieure doit rester le principal moteur de la croissance."
Encore une belle victoire des prévisionnistes...
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